Marre des apprentis sorciers et des escrocs !

Disclaimer : Ce message est brut de fonderie, parfois direct et pas en français très poli. Il est écrit sous le coup de la colère. Si vous n’aimez que le langage chatié, merci de passer sur un autre post.

Y’a des jours où l’on a envie de sortir le bazooka et d’aller en mettre un grand coup dans la tronche des gros blaireaux qui bossent dans l’emailing que pour l’argent. Voilà c’est dit, ça c’est fait !

En septembre, je me suis retenu de pas poster de coup de gueule suive à ma visite sur le salon Ecommerce parce que ce que j’ai entendu là bas m’a parfois tellement horripilé que j’allais devenir vraiment désagréable. J’ai pris sur moi mais là c’est plus possible. Entre ceux qui racontent sciemment des mensonges pour faire signer des clients et ceux qui escroquent clairement leurs clients avec des prestations qui en plus de leur coûter un bras va clairement les mettre dans le mur, j’ai vraiment l’impression d’être revenu à l’époque noire de 2006 🙁

Y’a plein de choses qui m’indisposent dans le secteur, je prend juste l’exemple de ce matin.

Aujourd’hui il est possible de faire de l’emailing de fidélisation à peu près sereinement pour peu qu’on prenne un prestataire sérieux. Pour la prospection, c’est bien plus compliqué. Les bonnes bases sont hors de prix et ne veulent pas travailler sur des petits volumes. Les bases accessibles aux petits sont souvent peu sérieuses. Du coup certains s’engouffrent dans la brèche et proposent de l’enrichissement de base client pour l’emailing. Ces enfoirés escrocs vils commerciaux proposent de prendre votre base client et de l’enrichir avec les adresses emails qui vous manquent. Du coup c’est pas vraiment de la prospection et le prospect qui pourtant est un lecteur de mon blog, ne voit pas où peut être l’embrouille vu qu’il shoote sur sa base client. La seule chose qu’il veut faire, c’est toucher par un nouveau canal une clientèle qu’il a déjà en base. Où peut-être le mal ?

Le mal c’est que les adresses qu’on vous refourgue, elles doivent être de qualité et certifiées. Et même ainsi, vous n’avez ni le consentement de la cible, ni l’assurance qu’elle est encline à recevoir vos mails. Pour la personne avec qui j’ai discuté ce matin, cette expérience a été dramatique. Même si sur le site du prestataire il est indiqué que leurs fichiers sont irréprochables, ce qu’il à refilé c’est qu’une putain d’aspiration, pleine de spamtraps. Par collecte à la main ils entendaient sans doute que c’est une main qui clique sur la souris qui lance l’aspirateur… Et le résultat pour leur client c’est qu’il est bien brulé de partout, son domaine est explosé, il a payé très cher cette prestation toxique, il va devoir remettre la main à la poche pour faire nettoyer son domaine, son routeur l’a viré, bref c’est l’apocalypse pour cette petite entreprise qui ne s’en remettra sans doute pas. Cette prestation emailing était pour eux une tentative de prendre une bouffée d’oxygène. Pour ne pas prendre de risque ils n’ont pas fait de prospection sauvage et ont opté pour un enrichissement de leur base client. Comme je n’avais jamais parlé de ce genre de risques ici, ils se sont lancés sans crainte.

Ce blog je l’ai lancé pour prévenir des mauvaises pratiques techniques et comportementales, des utilisateurs, clients et prestataires du secteur. Aujourd’hui je me rend compte que c’est une industrie dans laquelle heureusement il y a des gens compétents, sympas, humains, mais il y en a aussi qui ne sont là que pour faire des actes de piraterie, dévaliser les pigeons ignorants béotiens qu’ils rencontrent et leur prendre un max d’argent en one-shot. Je trouve ce genre de pratiques gerbantes ! y’a des entreprises, des salariés, des humains derrière, et si l’entreprise est touchée, y’a de l’humain qui trinque ensuite. Par les temps actuels, c’est pas admissible.
Et pour me faire finir de rendre mes tripes, ce putain de prestataire, c’est lui aussi un lecteur de ce blog et c’est en me lisant qu’il a eu l’idée de son business et de la présentation de son offre. 🙁

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15 Commentaires

  1. Soumis le 6 octobre 2011 à 13:34 | Permalien

    Tout simplement déplorable… Comme dans tout secteur, il y a des gens compétents et bien intentionnés, des escrocs, des ignorants…
    Je comprend ta colère, nous sommes également confrontés dans d’autres problématiques à des gens sans foi ni loi. C’est malheureusement la nature humaine.
    Heureusement qu’il y a quelques phares pour éclairer la route du voyageur néophyte… Encore faut-il les trouver.

  2. Soumis le 6 octobre 2011 à 14:19 | Permalien

    Quand je vois toutes les pubs que je reçois, de la part de sociétés que je ne connais pas, sans leur avoir donné mon accord préalable et, pire encore, sur des adresses mail jamais utilisées (mais créées de toutes pièces par l’escroc vendeur de base de donnée d’emails pas chère en accolant simplement un contact ou un info devant un nom de domaine réservé mais pas opérationnel), je ne peux que constater que, dans ce domaine, les margoulins sont hélas beaucoup trop nombreux.

    Vincent dans son commentaire indique qu’il existe quelques phares. C’est vrai, mais il faut croire que les escrocs éclairent encore mieux et attirent plus aisément les pauves petites sociétés qui ont le malheur de placer en eux l’espoir d’une augmentation de leur chiffre d’affaires.

  3. Soumis le 6 octobre 2011 à 14:48 | Permalien

    C’est toujours malheureusement très risqué de shooter sur une base qu’on ne connait pas (ça l’est déjà tellement sur une base qui nous est propre…). Que dire ? que faire ? je crois pas grand chose… J’espère que ton client pourra se retourner contre le prestataire et pourra faire en sorte de se faire indemniser.

    Y a bien une solution pour éviter que les petits s’effondrent de cette manière, mais on s’apparenterait plus à des techniques de spammeurs et je ne suis pas certain que Charles cautionnerait mon explication 😉

    En tout cas merci pour ton petit coup de gueule, ça permettra peut être à certains de faire un peu plus attention.

    A bientôt pour un nouveau post.

  4. Soumis le 7 octobre 2011 à 16:11 | Permalien

    Bonjour,

    Je lis régulièrement votre blog (très intéressant et divertissant soit dit en passant) mais n’étais jamais intervenu. Mais votre article m’interpelle… Sans revenir sur les techniques foireuses (genre aspirateurs à mail), j’ai du mal à comprendre comment on peut se retrouver avec des spamtraps sur un enrichissement, de fait votre client ne peut-il tout simplement pas se retourner contre ce prestataire en faisant valoir qu’il a demandé un enrichissement et non pas une campagne d’acquisition ? In fine faire valoir que la prestation n’est pas de la nature de celle demandée et de fait réclamer d’importantes réparations devant la juridiction compétente.

  5. Soumis le 8 octobre 2011 à 21:51 | Permalien

    Bravo pour ton blog que je découvre ce soir, très intéressant et pertinent!

    Le vrai problème, c’est comment distinguer un bon fichier d’un mauvais fichier? Ok c’est sûr que lorsque le tarif par adresse est très bas, il faut se poser des questions, je suis d’accord. Mais un tarif élevé n’est pas un gage de qualité pour autant, loin s’en faut.

    Et le problème, c’est que tant que tu n’as pas testé le fichier, tu ne sais pas ce que cela va donner. Et quand tu l’as testé, et bien, c’est trop tard!

    As tu des recommandations à faire sur des prestataires sérieux dans la vente de fichiers? Moi j’ai acheté un fichier à 0,60€ l’adresse où on me garantissait 5% de NPAI, résultat, plus de 20% et banni de plusieurs routeurs, la fête!

  6. Soumis le 9 octobre 2011 à 12:49 | Permalien

    Florian> La base il la connaît puisque c’est son fichier client. Ce qu’il n’avait pas et qu’il a acheté en prestation, c’est le rapprochement de sa base et de base email, pour enrichir sa base client avec les emails présumé de ses clients.
    Donc à la base sa démarche est mieux que de l’acquisition traditionnelle, sauf que la le prestataire était pourri.

    Jeff> Normalement un enrichissement ne doit pas te générer de spamstraps, si c’est fait correctement. Mais si les bases emails du prestataire sont pourries, là tout est possible.
    Pas de retournement possible car dans les petites lignes du contrat il n’y a pas d’engagement sur la qualité des adresses fournies. Oui c’est un comble mais c’est comme cela.
    Donc à moins de partir dans un lourd dossier juridique… la boite du client sera morte avant :-/

    Olivier> Je pars du principe qu’une base qu’on achète est une mauvaise base car elle sera surexploitée très rapidement et donc perdra en réactivité.
    Le prix ne veux effectivement rien dire car une base merdique peut être vendue fort cher justement pour contrer l’effet prix cassé. C’est du marketing :-/

    Les prestataires que je recommande sont ceux qui sont acceptés par Mailperformance. S’ils les acceptent, c’est que les bases sont correctes, en tout cas assez pour qu’ils n’aient pas trop de travail à faire dessus en nettoyage des serveurs et des IP.

  7. Soumis le 9 octobre 2011 à 12:55 | Permalien

    Merci Charles, je suis allé sur le site de Mailperformance mais je ne trouve pas de liste de prestataires recommandés/acceptés 🙁

  8. Soumis le 9 octobre 2011 à 17:41 | Permalien

    Lorsqu’un de mes clients veut faire de l’acquisition,
    il me dit chez qui il a eu ses bases et je demande à mailperf si ce prestataire a des bases ok pour le routage.

  9. Soumis le 9 octobre 2011 à 17:45 | Permalien

    Ok je vois, merci Charles! Je vais essayer d’autres loueurs alors…

  10. Soumis le 10 octobre 2011 à 8:47 | Permalien

    Bonjour Charles,
    Bravo pour ton coup de gueule, c’est bien que quelqu’un parle publiquement de l’envers du décor et des risques concrets de certaines pratiques dangereuses.

    Pour avoir dirigé les services opérationnel et de la delivrabilité chez un routeur, il est clair que les clients n’ont plus droit à l’erreur et que le moindre faux-pas entrainera une suspension du service.
    Le routeur ne fait pas ça pour s’amuser, mais pour préserver sa propre reputation dans l’écosystème et son portefeuille client. A l’époque où ces pratiques n’avaient aucun impact sur leur CA, ils étaient beaucoup moins regardants !

    A propos de l’enrichissement de base (ou email appending), le MAAWG a justement pris position sur cette pratique, j’en ai fait un billet sur mon blog la semaine dernière.

    D’un point de vue légal, il serait intéressant que la CNIL prenne publiquement position en France sur cette pratique et réponde notamment à la question : un consentement peut-il être cessible d’un canal à l’autre ?

    Bonne continuation,
    Jérôme

  11. Soumis le 12 octobre 2011 à 13:26 | Permalien

    Il faudrait déjà se souvenir que l’achat de liste est illégal, sauf dans un cadre B2B et avec des conditions particulières…

    Mais si dans votre fichier vous avez du Hotmail, du Gmail, etc. C’est de tout façon peine perdue : ces prestataires interdisent de démarcher qui que ce soit sans consentement. Vos emails seront vite bloqués et votre IP blacklistée.

    Le routeur pour lequel je travaille refuse tout simplement les listes achetées, c’est plus simple et plus honnête. Je confirme que les gens qui se font avoir, c’est tous les jours et en nombre.

    Mieux vaut investir sur la longueur et se construire une base solide et pertinente !

    Au plaisir de vous lire, ce blog est plaisant 😉

  12. Soumis le 15 octobre 2011 à 8:09 | Permalien

    La BEFTI à Paris 13ème prend ce type de plainte et la Justice ensuite leur fait leur affaire !

    Effectivement la position du MAAWG semble être raisonnable et au cas par cas il faut analyser les faits pour voir quelle infraction ils constituent! je dirai que les peines encourues « ça calme » voici les extraits des meilleurs articles du code pénal français qui s’applique en France même si la collecte a eu lieu à l’étranger sur une adresse française ! que la base est en France etc…
    Ce n’est donc pas du spam c’est pire 🙂
    Ces articles codifiant la loi sur l’informatique, les libertés et les fichiers de 1978 sont dits « infractions CNIL » à la BEFTI
    C’est peut_être un peu long mais ils faut absolument les reconnaître pour s’en défendre selon le sujet « optin »

    Article 226-18 du code pénal
    Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite
    est puni de cinq ans d’emprisonnement et de 300 000 Euros d’amende.

    Article 226-21 du code pénal
    Le fait, par toute personne détentrice de données à caractère personnel à l’occasion de leur
    enregistrement, de leur classement, de leur transmission ou de toute autre forme de traitement, de
    détourner ces informations de leur finalité telle que définie par la disposition législative, l’acte
    réglementaire ou la décision de la Commission nationale de l’informatique et des libertés autorisant
    le traitement automatisé, ou par les déclarations préalables à la mise en oeuvre de ce traitement, est
    puni de cinq ans d’emprisonnement et de 300 000 Euros d’amende.

    Article 226-22 du code pénal
    Le fait, par toute personne qui a recueilli, à l’occasion de leur enregistrement, de leur classement, de
    leur transmission ou d’une autre forme de traitement, des données à caractère personnel dont la
    divulgation aurait pour effet de porter atteinte à la considération de l’intéressé ou à l’intimité de sa
    vie privée, de porter, sans autorisation de l’intéressé, ces données à la connaissance d’un tiers qui n’a
    pas qualité pour les recevoir est puni de cinq ans d’emprisonnement et de 300 000 Euros d’amende.
    La divulgation prévue à l’alinéa précédent est punie de trois ans d’emprisonnement et de 100 000
    Euros d’amende lorsqu’elle a été commise par imprudence ou négligence.
    Dans les cas prévus aux deux alinéas précédents, la poursuite ne peut être exercée que sur plainte de
    la victime, de son représentant légal ou de ses ayants droit.
    Article 226-31 du code pénal
    Les personnes physiques coupables de l’une des infractions prévues par le présent chapitre
    encourent également les peines complémentaires suivantes :
    1° L’interdiction des droits civiques, civils et de famille, suivant les modalités prévues par l’article
    131-26 ;
    2° L’interdiction d’exercer l’activité professionnelle ou sociale dans l’exercice ou à l’occasion de
    l’exercice de laquelle l’infraction a été commise, suivant les modalités prévues par l’article 131-27 ;
    3° L’interdiction, pour une durée de cinq ans au plus, de détenir ou de porter une arme soumise à
    autorisation ;
    4° L’affichage ou la diffusion de la décision prononcée, dans les conditions prévues par l’article
    131-35.
    5° Dans le cas prévu par les articles 226-1 à 226-3, 226-8, 226-15 et 226-28, la confiscation de la
    Dernière modification du texte le 24 juillet 2010 – Document généré le 02 août 2010 – Copyright (C) 2007-2008 Legifrance
    chose qui a servi ou était destinée à commettre l’infraction ou de la chose qui en est le produit. La
    confiscation des appareils visés à l’article 226-3 est obligatoire.
    Article 226-22-2 du code pénal
    Dans les cas prévus aux articles 226-16 à 226-22-1, l’effacement de tout ou partie des données à
    caractère personnel faisant l’objet du traitement ayant donné lieu à l’infraction peut être ordonné.
    Les membres et les agents de la Commission nationale de l’informatique et des libertés sont
    habilités à constater l’effacement de ces données.
    Article 226-24 du code pénal
    Les personnes morales déclarées responsables pénalement, dans les conditions prévues par l’article
    121-2, des infractions définies à la présente section encourent, outre l’amende suivant les modalités
    prévues par l’article 131-38, les peines prévues par les 2° à 5° et 7° à 9° de l’article 131-39.
    L’interdiction mentionnée au 2° de l’article 131-39 porte sur l’activité dans l’exercice ou à l’occasion
    de l’exercice de laquelle l’infraction a été commise.

    Article 226-30 du code pénal
    Les personnes morales déclarées responsables pénalement, dans les conditions prévues par l’article
    121-2, des infractions définies à la présente section encourent, outre l’amende suivant les modalités
    prévues par l’article 131-38, les peines prévues par les 2° à 5° et 7° à 9° de l’article 131-39.
    L’interdiction mentionnée au 2° de l’article 131-39 porte sur l’activité dans l’exercice ou à l’occasion
    de l’exercice de laquelle l’infraction a été commise.

  13. Soumis le 16 octobre 2011 à 20:41 | Permalien

    Jérôme> Tu le sais, les coups de gueule, cela me connait 😉
    Je partage ton avis sur le besoin de la CNIL de prendre une position arrêtée sur cette question. Que ce soit clair une fois pour toute et qu’ensuite les prestataires s’y tiennent.

    Elie> Vous n’avez peut-être pas bien compris la situation expliquée. C’est pas de l’achat de base, ou en tout cas, c’est pas ainsi que c’est perçu. Là c’est de l’enrichissement de profils clients existants pour lesquels l’email n’était pas connu.
    Des hotmails, gmail et autres webmails, nous en avons tous dans nos bases client, ils sont réactif et c’est pas cela qui pose problème en soit (oui nous en avons aussi des non réactifs parce que mail poubelle mais c’est autre chose)

    Avec ce type de fichier obtenu, votre client vous indique à juste titre qu’il ne route que sur son fichier client. D’où mon coup de gueule ! Si c’était de la bête acquisition de base, j’ai fini de m’emporter sur ces erreurs basique, et tant pis pour les pigeons qui tombent encore là dedans.
    Mais dans ce cas ci, la base initiale était la base client de l’entreprise, donc des gens connus et normalement sans risques si le prestataire indélicat n’avait pas fait un boulot à chier. (voila que je m’emporte à nouveau…)

    Anne> Merci, c’est toujours bien de remémorer la loi (même si avouons le c’est vraiment indigeste comme textes pour le commun des mortels 🙂 )

  14. Soumis le 29 novembre 2011 à 14:33 | Permalien

    Bonjour

    Etant néophyte en mailing (et je m’en méfie, je n’ai pas trop le mailing), je suis « obligé » de répondre à un client qui souhaite avoir
    – un service de mailing (je rajoute « propre »)
    – éventuellement une base de prospects.

    La question est simple, snipemail : comment savoir en tant que client qu’on ne se fiche pas de vous, qu’on ne vous refile pas une base de données pourrrie (non qualifiée).

    Bref, comment savoir/chercher/acheter de bonnes prestations.

  15. Soumis le 29 novembre 2011 à 15:37 | Permalien

    Bonjour Loran et merci pour cette question qui tue 😉

    Quand on est néophyte ou en tout cas « pas du métier », impossible de savoir ce qu’il en est vraiment 🙁
    La plupart des sites ne sont que des vitrines commerciales où « tout est beau et propre », les infos – les vraies – ce n’est pas là qu’on les trouve.

    Mes sources sur ce qui est bien ou pas, je les tire directement de mes contacts chez les routeurs, brookers, clients, prospects et même de certains lecteurs du blog qui m’envoient leurs infos, délations et coups de gueule 🙂

    Pour les outils propres, il « suffit » de prendre le haut du panier de l’emailing et de matcher cela avec la stratégie du routeur (bref prendre un qui ne signe pas tout et n’importe quoi) et généralement c’est assez bon.

    Pour l’acquisition par contre c’est bien plus dur ! J’ai sans doute trouvé un prestataire en B2B mais pour le B2C je n’ai encore rien qui soit économiquement accessible aux petits :-/

    Mais c’est la question qui tue que cette question là 🙂

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